L’état français et la justice
« Selon
que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de Cour vous rendront blanc ou noir. »
Jean de la Fontaine.
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ASSEMBLEE DE LA
POLYNESIE FRANCAISE
Groupe Union Pour La Démocratie
(UPLD)
Papeete, le 18 mars 2011
Jean-Paul Barral : un honnête homme
Jean-Paul Barral, tous ceux qui ont croisé son chemin vous le diront, possède une rigueur intellectuelle et un sens de la droiture qui, pour nombre d’entre nous semblent d’un autre temps.
Après l’ère des PCA roulant en BMW de fonction à 20 millions, et déjeunant quotidiennement aux frais de l’OPT dans les meilleurs restaurants, il a inauguré celle de la transparence et de la salutaire rigueur.
Voici donc le véritable visage de Jean-Paul Barral ; celui d’un homme intègre, qui utilisait sa twingo personnelle, qui a limité ses émoluments à la limite règlementaire, qui a choqué les habitués des petits fours par ses cocktails au S.A.O et pâté Armor…
Celui aussi du seul PCA de l’OPT qui avait exigé et obtenu que soient affichés chaque jour tous les détails des dépenses relatives à sa Présidence, sur les sites internet de l’OPT.
La réalité s’impose comme une évidence: Jean-Paul Barral est un honnête homme, et tout le monde en Polynésie le sait !
Il faudrait plutôt s’intéresser aux mercenaires plumitifs qui, des années durant, dans les couloirs et les alcôves de l’OPT, ont joué du pistolet sans jamais signer eux-mêmes leurs crimes.
Groupe UPLD
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Commune de
Faa’a
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Service Communication
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BP 60 002
98702 Faa’a Centre - Tahiti
Téléphone : (689) 800 960
Télécopie : (689) 834 890
e-mail : sce.communication@mairiefaaa
N° : 23/2011-tm Faa’a, le vendredi 18 mars 2011
COMMUNIQUE
Faa’a soutient Jean-Paul Barral
Le Maire et son conseil municipal souhaitent apporter publiquement, un sincère soutien à Monsieur Jean-Paul Barral suite à sa mise en examen dans l’affaire du câble de Honotua.
Tout Faa’a connaît l’homme intègre, attaché à des principes et des valeurs d’intégrité qu’il n’a cessé de véhiculer et prouver par ses différentes actions et choix qu’il a eus à faire pour servir la commune, que cela soit en tant que Principal du Collège de Faa’a durant de longues années, en tant que conseiller municipal, en tant qu’adjoint au maire, en tant que directeur de cabinet ou en tant que conseiller spécial du Maire.
Toute personne qui a eu à occuper un poste à responsabilité sait que les décisions se prennent en partie sur la base d’une confiance totale envers ses collaborateurs ou conseillers techniques, qui sont les conducteurs de projets.
Dans cette affaire, la seule chose qu’on pourrait reprocher à Jean-Paul Barral, serait d’avoir accordé sa totale confiance à des conseillers techniques. Nous n’oublions pas que c’est grâce à lui que plusieurs affaires douteuses ont pu être dévoilées et que les agents de l’OPT ont pu retrouver une certaine dignité. Tout comme nous n’oublions pas que Jean-Paul Barral a toujours fait le nécessaire pour que la justice suive son cours.
Nous soutenons donc publiquement Jean-Paul Barral qui restera toujours à nos yeux, malgré cette affaire, l’homme intègre qui nous sert et servira d’exemple à toutes les générations futures et dénonçons la façon dont il est mis publiquement en avant par les médias, toujours à la recherche du sensationnel.
Pour le Maire,
Le premier Adjoint,
Désiré Tokoragi
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JACQUI DROLLET, AUDITIONNE PAR LA BRIGADE
DE RECHERCHE, EST SORTI LIBRE…
Jacqui DROLLET n'a rien à se reprocher.
Par citation à témoin en date du 11 février 2011, dans le cadre d’une information ouverte contre X, monsieur Jacqui DROLLET s’est présenté à la section de recherches de la gendarmerie de Papeete le 17 mars 2011 à 09H00.
Pour les besoins de l’enquête, il a été placé en garde à vue, de laquelle il est sorti libre après 23H45 minutes, soit vendredi 18 mars dans la matinée.
La garde à vue de près de 24 heures a permis à monsieur Jacqui DROLLET de répondre à toutes les questions qui lui ont été posé par l’enquêteur en charge de son audition.
Contrairement à ce qui a été annoncé par la presse, aucune perquisition à sa connaissance n’a eu lieu, pas plus à son domicile qu’à son bureau à l’Assemblée de la Polynésie française.